3 – Une émotivité et une capacité d’empathie importantes
Inutile de développer beaucoup cet aspect lié à l’émotion, qui est l’une des deux grandes demandes d’accompagnement. Trop émotive, trop sensible, trop sensible à la souffrance des autres, etc…
Les reproches faits aux personnes à haute sensibilité sont souvent accompagnés de « trop ». En effet, les émotions ne sont pas communément appréciées dans notre culture occidentale. Et pire, elles sont le plus souvent mal venues.
Pourtant, les émotions sont un fonctionnement organique vital à la survie et à bien d’autres fonctionnements humains, dont notre chère rationalité cartésienne (mais que je n’explorerais pas ici. Cf Antonio Damasio pour ceux que cela intéresse).
L’émotivité s’avère plus intense chez les personnes à haute sensibilité, entre autre, par la pondération qu’elle ajoute au traitement de l’information sensible.